Prendre sa place, prendre ma place

Introduction – Pour une vie enrichissante…

Dans la quête d’épanouissement personnel, prendre sa place, s’affirmer et assumer ses besoins, désirs et aspirations est primordial. Néanmoins, des obstacles internes peuvent se dresser sur notre route et nous empêcher de vivre pleinement.

Dans cet article, je vous propose d’explorer le concept de “prendre sa place” et les défis auxquels nous sommes confrontés. En énumérant 25 obstacles intérieurs et en partageant des exemples concrets, je souhaite mettre en lumière les peurs qui nous retiennent, tels que la crainte du jugement, du conflit ou du rejet. Je partagerai également des réflexions et des conseils pour comprendre et surmonter ces peurs. Pour finir, je vous présenterai les étapes à suivre pour prendre notre place malgré nos peurs et les avantages que cela apporte à notre vie. Respirez profondément et plongez dans cet article pour découvrir comment s’affirmer, s’exprimer et vivre pleinement.

Qu’est-ce que je veux dire par prendre sa place?

Prendre sa place, c’est s’exprimer, certes, mais aussi se choisir, prendre soin de ses besoins, de ses désirs, de ses aspirations, de ses malaises et de ses limites. Vivre sa vie à fond. On peut prendre notre place en relation, mais on peut aussi le faire en existant, en menant une vie épanouissante. Prendre sa place, c’est s’accorder de l’importance, c’est se choisir.

Voici 25 exemples qui illustrent les différentes façons de prendre notre place dans la vie.

  1. Exprimer ses opinions et sentiments, même si cela peut créer des désaccords.
  2. Choisir de poursuivre un rêve ou une passion, même si cela implique de quitter un emploi stable.
  3. Mettre fin à une relation amoureuse ou amicale qui ne nous convient plus, pour préserver notre bien-être émotionnel.
  4. Demander une augmentation ou une promotion au travail si l’on estime le mériter.
  5. S’inscrire à un cours ou une formation pour développer de nouvelles compétences et grandir personnellement.
  6. Prendre la parole en public pour partager ses idées et expériences.
  7. Dire non à des invitations ou des demandes qui ne correspondent pas à nos valeurs ou à nos besoins.
  8. S’accorder du temps pour prendre soin de soi, tant physiquement que mentalement.
  9. Défendre ses droits et ses limites face à des personnes qui cherchent à les enfreindre.
  10. S’impliquer dans des causes qui nous tiennent à cœur et contribuer au bien-être de notre communauté.
  11. Oser se lancer dans l’entrepreneuriat pour créer sa propre entreprise.
  12. Voyager seul(e) pour vivre des expériences enrichissantes et apprendre à se connaître.
  13. Exprimer sa créativité à travers des projets artistiques ou d’écriture.
  14. Se fixer des objectifs personnels et professionnels et travailler pour les atteindre.
  15. Affronter ses peurs et sortir de sa zone de confort pour vivre de nouvelles expériences.
  16. Prendre des décisions importantes pour sa santé, comme changer d’alimentation ou adopter un mode de vie plus sain.
  17. Participer activement à des groupes de discussion ou des réunions pour partager ses idées et ses connaissances.
  18. Se tenir debout face aux critiques et ne pas se laisser influencer par les jugements des autres.
  19. S’entourer de personnes positives et inspirantes qui nous soutiennent dans notre cheminement.
  20. Être honnête avec soi-même et reconnaître ses forces et ses faiblesses.
  21. Changer d’environnement ou de lieu de vie pour mieux se ressourcer et se reconnecter à soi-même.
  22. Prendre des risques calculés pour saisir des opportunités et grandir.
  23. Apprendre à s’affirmer et à communiquer efficacement ses besoins et ses attentes.
  24. Se donner la permission de ressentir et d’exprimer ses émotions sans crainte de jugement.
  25. Assumer pleinement sa personnalité et son authenticité, même si cela signifie être différent des autres.

Ces exemples illustrent différentes manières de prendre sa place en vivant pleinement, en osant s’occuper de soi, en s’exprimant et en prenant des décisions pour améliorer sa qualité de vie.

Prendre sa place, c’est vivre.

Prendre sa place malgré les peurs

La difficulté de prendre sa place

Dans n’importe quelle situation, prendre notre place exige de surmonter des obstacles intérieurs. C’est inévitable : face à l’action créatrice, on ressent des peurs.

C’est ce dont je veux vous parler dans cet article : le tango entre nos besoins et nos peurs.

Voici 25 obstacles intérieurs qui peuvent nous empêcher de prendre notre place et de vivre pleinement :

  1. La peur d’être jugé ou critiqué par les autres.
  2. La peur du conflit ou des confrontations.
  3. Le manque de confiance en soi et en ses capacités. (peur de l’échec ou de ne pas réussir)
    1. La confiance en soi, c’est croire en sa capacité à accomplir ou réussir quelque chose et à faire face à l’échec. On pourrait dire que le manque de confiance en soi et en ses capacités, c’est la peur de l’échec.
  4. Le sentiment d’infériorité ou de ne pas être à la hauteur.
  5. Le perfectionnisme et l’imposition de standards inatteignables.
    1. Comme expliqué dans cet article sur le perfectionnisme, le sentiment de ne pas être à la hauteur crée un cercle vicieux d’exigences qui s’autoalimente.
  6. La peur du rejet ou de ne pas être accepté par les autres.
  7. Le sentiment d’imposture ou le syndrome de l’imposteur.
  8. La peur de décevoir les autres ou de ne pas répondre à leurs attentes.
  9. La peur du changement ou de l’inconnu.
  10. La dépendance à l’opinion des autres pour se sentir validé.
  11. La procrastination et la tendance à remettre les choses à plus tard.
  12. Le manque d’estime de soi et la tendance à se dévaloriser.
  13. La difficulté à s’affirmer et à exprimer ses besoins et ses limites.
  14. Le sentiment de culpabilité lorsqu’on prend du temps pour soi.
  15. La peur de perdre le contrôle ou de ne pas être en mesure de gérer certaines situations.
  16. L’anxiété et le stress qui peuvent paralyser et empêcher de passer à l’action.
  17. La comparaison avec les autres et le sentiment de ne pas être assez bien.
  18. La peur de l’abandon ou de se retrouver seul(e).
  19. La tendance à se sacrifier pour les autres et à négliger ses propres besoins.
  20. La difficulté à reconnaître et à accepter ses émotions et ses ressentis.
  21. Le manque de motivation ou d’inspiration pour poursuivre ses rêves et ses objectifs.
  22. La peur de prendre des risques et de sortir de sa zone de confort.
  23. La peur de l’intimité et de se dévoiler aux autres.
  24. Le sentiment d’indécision ou la difficulté à prendre des décisions importantes.
  25. L’attachement au passé et la difficulté à lâcher prise sur des expériences ou des croyances qui nous limitent.
    1. Le passé peut souvent influencer notre perception de nous-mêmes et de nos capacités. En restant attaché à des expériences négatives ou en maintenant des croyances limitantes, on se prive de la possibilité de grandir et d’évoluer. Apprendre à lâcher prise et à embrasser le présent est essentiel pour surmonter cet obstacle intérieur et prendre pleinement sa place.

Ces obstacles intérieurs peuvent entraver notre capacité à prendre notre place, à nous exprimer et à vivre pleinement. Il est important de les reconnaître et de travailler sur ces aspects pour les surmonter et pouvoir se réaliser pleinement.

Mon expérience personnelle – Prendre ma place

Les défis en tant que blogueur et communicateur dans le domaine de la psychologie et du développement personnel.

Surmonter les peurs pour partager mes idées et ma passion

En tant que blogueur et pour mes publications sur les réseaux sociaux, j’ai dû me dépasser pour me dévoiler, pour exister avec mes idées, croyances et principes. Ça m’a beaucoup demandé pour me montrer dans ce qui me passionne.

J’avais peur de créer des réactions, peur de ne pas réussir et d’être jugé.

Certaines expériences de vie m’ont laissé la peur de ne pas être à la hauteur. Peur qui se manifeste par du perfectionnisme (exigences malsaines). Lorsque je veux prendre ma place, vivre ma vie pleinement, je fige. Par peur de ne pas être bon, de ne pas être correct et ultimement de ne pas être aimé, je m’impose des standards inatteignables qui me paralysent.

Aujourd’hui, je fonctionne de moins en moins comme ça, en osant et en avançant constamment pour me réaliser dans tous les domaines de ma vie.

En osant prendre ma place, je me suis libéré de mes peurs et j’ai créé. J’ai bâti ma confiance en ma capacité à écrire et publier des articles pertinents qui aident les gens à eux aussi se créer à leur tour.

Maintenant, je ressens la même chose à l’idée de publier des vidéos de développement personnel : j’ai peur de ne pas être assez bon, de ne pas être assez professionnel, j’ai peur de créer des réactions, de ne pas être aimé, d’être jugé, etc.

Je suis capable de dédramatiser, je sais que je vais me créer à travers d’autres moyens de communication, mais les peurs sont encore là, elles résistent à l’idée de faire des vidéos.

Tant et aussi longtemps que je vais avancer, je vais faire face à des peurs. Le problème n’est pas là. Le problème, c’est qu’est-ce que je fais avec mes peurs ?

Derrière mes peurs se cache le besoin de me protéger, mais me protéger de quoi ?

En fait, en travaillant sur mes peurs, j’ai réalisé qu’elles n’appartiennent pas à ma réalité présente, elles appartiennent à mon passé où j’ai été victime de traumatismes et de certains événements où j’ai réellement été rejeté parce que j’étais différent, parce que j’étais moi-même.

J’ai été profondément blessé par certains événements, mon psychisme essaie de se protéger en m’envoyant des signaux de danger là où il n’y en a pas vraiment. Ce qui me fait figer, éviter, procrastiner, etc.

En réalité, ça ne m’est pas arrivé depuis l’enfance d’être jugé, rejeté et de ne pas être aimé directement. J’ai aussi réalisé que je serais capable de faire face aux jugements et au rejet s’ils venaient à se présenter. Je ne suis plus cet enfant apeuré. Je suis un adulte plein de ressources qui connaît bien ses forces et ses difficultés.

Comprendre nos insécurités

L’origine des peurs

Les peurs sont là pour nous protéger. Mais de quoi exactement ? D’un danger potentiel. Le hic, c’est que notre cerveau ne distingue pas un danger réel d’un danger imaginaire.

D’une part, les peurs sont saines lorsqu’elles nous aident à nous préserver de situations périlleuses ou menaçantes. Dans ce contexte, l’appréhension nous incite à agir prudemment et à éviter de prendre des risques inutiles. Elle nous rappelle d’être vigilants et de prendre des mesures pour assurer notre sécurité et celle d’autrui.

D’autre part, les peurs peuvent devenir malsaines lorsqu’elles nous empêchent de vivre pleinement et limitent notre liberté. Cela se produit généralement lorsque la peur devient excessive ou irrationnelle, entravant notre capacité à prendre des décisions éclairées et nous poussant à éviter des situations qui, en réalité, ne présentent pas de réel danger. Dans ce cas, la peur peut nous priver d’opportunités, d’expériences enrichissantes et de relations interpersonnelles.

Exemple : trahi lors de ma dernière relation amoureuse, manipulé et trompé, je suis maintenant terrifié à l’idée d’entamer une nouvelle relation. Ce qui est tout à fait normal et justifié. Cependant, j’ai du mal à valider mes peurs et à discerner l’imaginaire de la réalité, ce qui me bloque et me rend réactif. Je vois du danger partout, j’imagine le pire, ce qui m’empêche d’avancer vers la possibilité d’une autre relation.

Mes peurs sont saines, car j’ai besoin de me protéger pour me sécuriser. Mais en restant coincées dans mon imaginaire, mes peurs m’entravent et me privent de ma liberté d’avoir une relation satisfaisante.

Au final, il est crucial d’apprendre à valider et réguler nos peurs en les accueillant et en les évaluant de manière réaliste. Cela nous permet de différencier les peurs saines, qui nous protègent, des peurs malsaines, qui nous entravent, et d’adopter des stratégies adaptées pour les gérer.

une représentation de la peur et de notrre réaction instinctive. La peur de prendre sa place, par une jeune femme qui crie.

Le cerveau et les peurs :

La peur est une émotion que nous ressentons en réponse à une menace potentielle ou un danger. Elle est essentielle pour notre survie, car elle nous aide à réagir rapidement et efficacement face à ces situations.

Le système de la peur est principalement contrôlé par une partie de notre cerveau appelée l’amygdale. Lorsque nous percevons un danger consciemment ou non, l’amygdale reçoit et analyse les informations sensorielles (ce que nous voyons, entendons, sentons, etc.) et déclenche une réaction de stress dans notre corps.

Cette réaction de stress active notre système nerveux sympathique, qui prépare notre corps à réagir face au danger. C’est à ce moment que les réactions “Fight, Flight or Freeze” entrent en jeu :

  1. Combattre (Fight) : Si notre cerveau évalue que la meilleure façon de faire face à la menace est de se défendre, il nous incite à combattre. Cela peut se traduire par une confrontation physique, verbale ou simplement au passage à l’action, selon la situation.
  2. Fuir (Flight) : Si notre cerveau juge qu’il vaut mieux éviter le danger, il nous incite à fuir. Nous pouvons alors ressentir une poussée d’adrénaline qui nous permet de courir plus vite ou de nous échapper plus efficacement. La fuite peut se manifester de façon plus subtile par l’évitement des situations qui nous cause la peur.
  3. Rester immobile (Freeze) : Parfois, notre cerveau détermine que la meilleure option est de ne pas bouger du tout. Cette réaction de “Freeze” peut nous rendre invisibles ou moins perceptibles pour le danger, en évitant d’attirer l’attention sur nous.

Ces réactions sont souvent automatiques et peuvent se produire sans que nous en soyons conscients. Elles sont le fruit de millions d’années d’évolution et ont pour but de maximiser nos chances de survie en cas de danger.

Le problème, c’est que les dangers sont rarement réels de nos jours. C’est-à-dire que je m’expose au jugement et à la critique en écrivant des articles comme celui-ci, absolument. Mais la réalité c’est que je suis capable de faire face à ce danger. Si j’évite pour me sécuriser, je me prive de ma liberté et je n’exprime pas pleinement mon potentiel, c’est insatisfaisant.

La difficulté à gérer nos peurs

Les difficultés à gérer la peur peuvent être attribuées à divers facteurs, tels que la génétique, les expériences de vie, la personnalité et les influences environnementales. Voici quelques-uns des facteurs qui peuvent contribuer aux difficultés d’une personne à gérer ses peurs :

  1. Génétique : La prédisposition génétique peut influencer la manière dont une personne réagit à la peur. Certaines personnes peuvent hériter de gènes qui les rendent plus sensibles aux situations stressantes ou qui les prédisposent à des troubles anxieux.
  2. Expériences de vie : Les expériences vécues, en particulier pendant l’enfance, peuvent causer des blessures psychiques et influencer la façon dont une personne gère la peur. Les traumatismes, l’abus ou le manque de soutien affectif peuvent contribuer à une mauvaise régulation de la peur. Les expériences négatives répétées peuvent également renforcer les réactions de peur et rendre plus difficile leur gestion.
  3. Apprentissage : La peur peut être apprise à travers l’observation ou l’expérience directe. Par exemple, si un parent ou un proche montre des signes de peur dans certaines situations, il est possible que l’enfant apprenne également à craindre ces situations.
  4. Personnalité : Certains traits de personnalité, comme la névrose ou l’introversion, peuvent rendre une personne plus sensible à la peur et moins capable de la gérer efficacement.
  5. Influences environnementales : Le stress chronique, la pression sociale et les attentes culturelles peuvent aussi affecter la manière dont une personne gère la peur. Vivre dans un environnement stressant, être entouré de personnes anxieuses ou être soumis à des normes culturelles strictes peut renforcer les réactions de peur et rendre leur gestion plus complexe.

TSPT

Le trouble de stress post-traumatique (TSPT) dérègle nos réactions face aux situations menaçantes. Les flashbacks, les cauchemars : tout cela rend notre radar à peur ultra-sensible. On perçoit des menaces inexistantes, on a peur, et notre vie quotidienne en pâtit. Le TSPT complique la gestion des peurs, affectant notre qualité de vie.

Les problèmes de santé mentale : Si on n’y prend garde, ces peurs incontrôlées peuvent mener à des troubles comme l’anxiété généralisée ou le trouble panique.

Chaque personne est unique. Les facteurs qui influencent la gestion de la peur varient. Parfois, consulter un professionnel de la santé mentale peut aider à mieux gérer ces peurs.

tendre la main à soi, tendre la main à nos peurs

Les besoins cachés derrière nos craintes et nos peurs

Écouter, identifier, réguler nos peurs est primordial. Nos peurs court-circuitent notre cortex préfrontal, siège de la raison. Si on ne les régule pas, agir rationnellement pour satisfaire nos besoins devient difficile. Il faut accepter nos peurs, les assumer, car elles font partie de nous. Elles sont là pour nous aider.

Réguler nos peurs nous permet d’identifier où et comment nous protéger tout en agissant.

Tant que nos peurs surpassent nos besoins en intensité, il sera difficile de passer à l’action pour les satisfaire. Nier nos peurs peut nous mettre “en danger”, nier nos besoins, de nous donner une vie insatisfaisante.

En travaillant notre capacité à réguler nos peurs et à identifier nos besoins, on départage l’imaginaire de la réalité. On se rend compte que, malgré les jugements ou les rejets, on a les ressources pour faire face. On redécouvre nos forces.

Les étapes pour prendre sa place malgré les peurs

  1. Réguler nos peurs:
    1. Identifier le déclencheur (écrire sur mon site web)
    2. Écouter et identifier nos peurs
    3. Accueillir et accepter nos peurs
    4. Sentir, vivre, préciser nos peurs
    5. Répéter les étapes i à iv au moins une fois, prenez une minute par point, puis passer à l’étape b
  2. Faire la distinction entre l’imaginaire et la réalité
  3. Reconnaître nos ressources et nos forces

Les bénéfices de prendre sa place

Quand on ne prend pas notre place, on impacte notre image personnelle, notre estime de soi et notre confiance en soi.

En prenant notre place, on se choisit, on se donne de l’importance, et cela renforce notre estime de soi et notre confiance.

  • La confiance en soi : En prenant notre place, on développe une meilleure confiance en nos capacités et en notre valeur personnelle. Cette confiance renforcée nous permet d’affronter les défis de la vie avec plus d’assurance.
  • La liberté d’action : En assumant notre rôle et en exprimant nos besoins, on gagne en autonomie et en liberté de choix. On est ainsi plus à même de décider de notre vie et de poursuivre nos objectifs.

On est ainsi plus à même de décider de notre vie et de poursuivre nos objectifs, en embrassant pleinement nos aspirations et en surmontant les obstacles qui se dressent devant nous.

Exister et Prendre sa Place – La Conclusion

Prendre sa place est un acte courageux et essentiel pour notre bien-être et notre épanouissement. Passer à l’action, c’est exister, c’est prendre sa place, c’est vivre et inévitablement, cela réveille des peurs. Toutefois, en apprenant à affronter et à apprivoiser ces peurs, nous gagnons en confiance et en liberté.

Si nous voulons avancer, il nous faut composer avec ces peurs pour retrouver notre liberté. Les peurs sont saines si elles nous amènent à nous protéger, mais pas si elles nous privent de notre liberté. En prenant le temps d’écouter, d’identifier et d’accueillir nos peurs, elles se dissolvent et nous entrons en contact avec nos besoins, nos ressources et nos forces.

Nos besoins prennent alors le dessus sur nos peurs, et nous retrouvons notre liberté d’agir. En choisissant de prendre notre place, nous nous donnons l’opportunité de vivre pleinement, de nous réaliser et de contribuer au monde qui nous entoure. Nous cultivons ainsi notre confiance en nous et notre capacité à surmonter les défis, pour mener une vie plus épanouissante et authentique.

N’hésitez pas si vous avez des commentaires, des questions ou des suggestions d’articles que vous ameriez lire, il me fera plaisir de vous répondre.

Au plaisir,

 

Yannick Delorme TRA,
Thérapeute en relation d’aide

Voici deux articles qui pourraient vous aider prendre votre place davantage, à vivre plus pleinement.

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